By Gloria Sofia
Oh ! Mort injuste
Un jour tu iras arracher mon corps
Que ni le soleil arrache au ciel
Tu iras brûler mon passé
Présent et futur perpétuant le temps
Oh! Mort
Quand arrivera ce jour
Je me lèverai avec grandeur
Cheminerai avec courage
Gracieuse comme les nuages qui courent dans le ciel
Je vais te recevoir comme la terre qui fond de plaisir
Rien que pour recevoir le soleil
Mort, oh! Mort
J'irai te séduire
Ouvrant le bouton de ma poitrine
Déshabillant de peur et d'angoisse
Entre murmures de mes yeux
Je vais te livrer le temple pour savourer
Tu pénétreras la fin en moi
Gémissante de fraîcheur et consommant de la chaleur
Je vais t’enlacer avec les bras fragiles
Je vais te crier la douce mélodie
"T'emportes père, t'emportes mère et enfants"
Si ta fraîcheur ne point dormait
Dans les rivières de mes veines
Je me lèverais et te giflerais
Avec mes baisers
Et je te tuerais avec mon amour
Oh ! Mort injuste
Rubans de Poésies - Glória Monteiro
7
Est née la poésie
Elle génère en moi
Enfants de sentiments distingués
Ils vivent dans l'embryon du cœur défait
Entourés de rivière de carmin
S'unissent que même pas le peuple
Propagent des fleurs à la dent du lion
Luttent avec silence d'esclave
Me laissant fébrile d'émotions
C'est torture, sensation de dégoût
Tant de contractions que je ressens
Rivières de sueurs courent comme des rayons
Décousent lumières et évanouissements
Saupoudrent rires et joies
De parturition durable, est née la Poésie
Rubans de Poésies - Glória Monteiro
8
Triste vie
Quand le soleil se couche
Morceaux de rayons tombent
Dans ce manteau qui m'habille l'âme
Quand le nuage se brise
Morceaux de pluie tombent
Dans cette couverture qui habille mon corps
Rivières me saigneront dans ces mains glacées
Mains fermées, emprisonnant la révolte
Dégoûts viendront résider dans mes yeux
Et mes yeux plus jamais ne verront, sinon que des étangs
Rubans de Poésies - Glória Monteiro
9
Je veux aller à la maison
Les routes s' ouvrent comme une fleur au printemps
Diasporas m'agripperont avec haine au cœur
Hollandais propagent les lettres dans l'atmosphère
Portugais pleureront avec tendresse la chanson
Français libéreront parfums entre baisers
Me vient en mémoire de l'enfance mille désirs
D’immigrer, apprendre, comprendre et connaître
La nuit est venue et jamais plus j'ai réussi à vaincre
Je veux aller à la maison
Espagnoles danseront effrayant ma solitude
Luxembourgeois avec leurs paysages vaniteux
Essuient pupilles de mes yeux avec gratitude
J'accélérerai le pas, Belges joueront avec mes ailes
Je veux tellement aller à ma terre rechercher les maisons
Aujourd'hui, j'ai découvert que ma maison est à tes pieds, João
Oh ! Mort injuste
Un jour tu iras arracher mon corps
Que ni le soleil arrache au ciel
Tu iras brûler mon passé
Présent et futur perpétuant le temps
Oh! Mort
Quand arrivera ce jour
Je me lèverai avec grandeur
Cheminerai avec courage
Gracieuse comme les nuages qui courent dans le ciel
Rien que pour recevoir le soleil
Mort, oh! Mort
J'irai te séduire
Ouvrant le bouton de ma poitrine
Déshabillant de peur et d'angoisse
Entre murmures de mes yeux
Je vais te livrer le temple pour savourer
Tu pénétreras la fin en moi
Gémissante de fraîcheur et consommant de la chaleur
Je vais t’enlacer avec les bras fragiles
Je vais te crier la douce mélodie
"T'emportes père, t'emportes mère et enfants"
Si ta fraîcheur ne point dormait
Dans les rivières de mes veines
Je me lèverais et te giflerais
Avec mes baisers
Et je te tuerais avec mon amour
Oh ! Mort injuste
Rubans de Poésies - Glória Monteiro
7
Est née la poésie
Elle génère en moi
Enfants de sentiments distingués
Ils vivent dans l'embryon du cœur défait
Entourés de rivière de carmin
S'unissent que même pas le peuple
Propagent des fleurs à la dent du lion
Luttent avec silence d'esclave
Me laissant fébrile d'émotions
C'est torture, sensation de dégoût
Tant de contractions que je ressens
Rivières de sueurs courent comme des rayons
Décousent lumières et évanouissements
Saupoudrent rires et joies
De parturition durable, est née la Poésie
Rubans de Poésies - Glória Monteiro
8
Triste vie
Quand le soleil se couche
Morceaux de rayons tombent
Dans ce manteau qui m'habille l'âme
Quand le nuage se brise
Morceaux de pluie tombent
Dans cette couverture qui habille mon corps
Rivières me saigneront dans ces mains glacées
Mains fermées, emprisonnant la révolte
Dégoûts viendront résider dans mes yeux
Et mes yeux plus jamais ne verront, sinon que des étangs
Rubans de Poésies - Glória Monteiro
9
Je veux aller à la maison
Les routes s' ouvrent comme une fleur au printemps
Diasporas m'agripperont avec haine au cœur
Hollandais propagent les lettres dans l'atmosphère
Portugais pleureront avec tendresse la chanson
Français libéreront parfums entre baisers
Me vient en mémoire de l'enfance mille désirs
D’immigrer, apprendre, comprendre et connaître
La nuit est venue et jamais plus j'ai réussi à vaincre
Je veux aller à la maison
Espagnoles danseront effrayant ma solitude
Luxembourgeois avec leurs paysages vaniteux
Essuient pupilles de mes yeux avec gratitude
J'accélérerai le pas, Belges joueront avec mes ailes
Je veux tellement aller à ma terre rechercher les maisons
Aujourd'hui, j'ai découvert que ma maison est à tes pieds, João